[Eté 1492] - Jean de Casille et Jeanne de Naples

Je m'adresse au peuple de Naple mais également a toute les nations chrétienne. Moi, Jean de Castille et héritier légitime du trône d'Espagne, je prend dès aujourd’hui la succession d'Alphonse II de Naples étant l’héritier légitime.

Vous avez été longtemps dirigé par Ferdinand Ier de Naples et  Béatrice de Castille. Ils ont été de grands dirigeant pour les Napolitains, respecté de tous. Nous leur en serons éternellement reconnaissant. Je me suis moi même marié avec Jeanne de Naple. Tout cela montre que les rapport entre le Royaume de Castille et d'Aragon et le Royaume de Naple on toujours été fort et on toujours servit les Napolitain. Le passé l'a montré et le futur le montrera encore.

Aujourd’hui , je devient Roi des Napolitain accompagné de ma cher épouse, Jeanne de Naple. Devants Dieu et devants vous, mon peuple, je m'engage a suivre les voix du seigneur et tout faire pour le servir ainsi que servir les intérêt de Naple, mais aussi des autres cité marchande italienne.


Je m'adresse donc aux Rois de Siennes, Florences, Viennes, Venise et Milan. Sachez qu'Alphonse II c'est retiré dans un monastère afin de prié et se faire pardonner pour s'être parjurer. Moi, Jean de Castille, accompagné de ma femme Jeanne de Naples, vous assurons que jamais nous ne tiendrons les discours qu'Alphonse I a tenu. Nous demandons ainsi a Sienne de pardonner le comportement de l'ancien Roi. Nous offrons a Sienne 500 ducats en dédommagements des dires de l'ancien Roi de Naples. 500 ducats seront également donné au Saint siège afin de nous excuser des dires d'Alphonse II mais également pour nos projet militaire contre les infidèle.

Moi, Jean de Castille accompagné de ma femme Jeanne de Naples, je demande également aux nations marchandes italiennes (Sienne, Florence, Milan , Venise et Vienne) de signer un accord qui spécifie que les cité marchandes italiennes n'envisage aucunement de mené une politique expansionniste envers les autres cité marchandes italiennes, de plus, les dites cités s'allie militairement afin d’empêcher la France (ou une autre nation) de tente une quelconque action militaire a l'encontre de nation italienne et de leur commerce.



Moi, Jean de Castille accompagné de ma femme Jeanne de Naples, prie le Roi de France de faire la Paix avec le Royaume de Naples. Le Roi Alphonse II a s'est retranché dans un monastère, il n'est donc plus une menace. Les cité italiennes n'ont donc plus a craindre l’expansionnisme Napolitain. Je pense qu'il est nécessaire pour nous, chrétien de nous concentré sur de vrai problème. Nous devons concentrer nos force afin de propager notre croyance et convertir les infidèle.

Il est hors de question que les relations des cités italiennes soient régit par le Royaume d'Espagne !

Cette ingérence du Roi de Naples dans les affaires des Cités Marchandes est certes assez hardis, et n'aurait pas dû être envisagé par un Roi Italien, mais nous sommes en face d'un Roi Espagnol, qui n'est peut-être pas au courant de toutes les affaires Italiennes ; ainsi, il faut lui pardonner. Les Cités Marchandes sont, nous le pensons, assez intelligentes pour régler leurs affaires elles-même. Bien entendu, nous supposons que le Roi de Naples peut faire des propositions aux autres Couronnes et Républiques Italiennes, mais nul ne peut imposer quelque chose à un pouvoir Souverain.

Soyez rassuré, les relation entre les cités italiennes ne seront en aucun cas régit par le Royaume d'Espagne. Je suis peut être Jean de Castille, fils de Ferdinand II Roi de Castille et d'Aragon, mais mon père n’interférera aucunement dans les affaire du Royaume de Naples. Il est et restera Roi d'Espagne et je suis et resterai Roi de Naples. Je vous rappelle que m'a sœur a gouverné au côté de Ferdinand I et que l'Espagne n'a jamais interféré. Cet état de fait ne changera jamais.