Diplomatie Ottomane

Le Sultan fait savoir à tous les peuples que c'est en ce lieu qu'il écoutera toute les requêtes diplomatiques qu'on lui adressera.

Diplomatie du Sultanat Ottoman

Nations sous protectorat Ottoman:

Moldavie

Malachie

Crimée

Circassiens

Le Sultan lance un ultimatum à Venise.

En effet, de nombreuses preuves tendent à prouver que de nombreux espions vénitiens ont récemment intercepté des documents officiels.

De plus, des navires marchands ottomans ont été attaqué par des pirates, mais il s'est avéré que ces pirates étaient à la solde du Doge de Venise.

Chypre semble être, ces derniers temps, la proie d'étranges préparatifs nuisant au sultanat.

Le Sultan demande des explications au Doge le plus rapidement possible.

Le Sultan trouve le Doge bien muet.

S'il ne fournit pas d'explications d'ici la fin de l'année, le Sultan sera obligé de prendre des mesures exceptionnelles.

Que le Sultan cesse de trouver des excuses pour assouvir ses pulsions expansionniste.

Serait-ce le pieux roi de France, qui vient d'envahir une partie de l'Italie par cupidité, qui critique le Sultan?

l'Italie a agressé la France et lui a déclaré la Guerre, la France a subit la Guerre, le Sultan la cherche.

Le Doge dément les accusations Ottomane, nous n'avons rien à dire à quelqu'un qui invente des excuses tel que vous le faite.

S'il est besoin l'Ordre des Hospitaliers propose une médiation pour assurer la paix et enquêter sur les accusations de la Sublime Porte.

En cas de tort averé de l'une (accusation vraie) ou l'autre (accusation mensongère) des parties, les deux parties acceptent sur l'honneur et leur Foi respective de s'en remettre à son arbitrage pour fixer les réparations.

Après cela, aucune des deux parties ne devra prétexter le désaccord comme casus belli puisqu'une médiation est possible et un arbitrage peut être rendue avec justice.

Pour engager notre responsabilité et prouver notre impartialité, le grand-maître propose de jurer sur les saintes reliques et notre livre sacré d'agir en tout sans avantager une partie par rapport à l'autre, et de chercher la justice en tout point, sans considération de la religion des deux parties.

Le Sultan est prêt à se remettre au jugement de Rhodes pour éviter une guerre qui nuirait à tous et que le Sultan souhaite particulièrement éviter. Si la République vénitienne est d'accords, l'enquête de Rhodes est la bienvenue.

Puissions-nous régler pacifiquement ce différent.

Venise n'ouvrira pas ses portes à des agents, même Rhodiens, les accusations Ottomane sont infondées, ils n'apportent pas la moindre preuve et nous devrions laisser enquêter ainsi pour leurs beaux yeux ? Nous ne remettons guère en question la neutralité Rhodienne, mais nous refusons de laisser ainsi arriver un éclaircissement d'une situation inventée par le Sultan.

Les Hospitaliers n'imposent jamais leur présence, que ce soit en Hongrie ou à Chypre... Nous agissons pour le bien des hommes, fidèles en cela à notre mission chrétienne.

Nous respectons donc la volonté de Venise, que cette volonté soit aujourd'hui de refuser un arbitrage ou peut-être demain, en d'autres circonstance, de le demander.


Que la Paix soit avec vous, Ottomans et Vénitiens.

Sa majesté pense que les Ottomans ont mieux à faire que de faire la guerre à Venise sur une excuse fumeuse. Vous encore qui massacriez hier des chrétiens par centaines et sans aucune raison.