[Hiver 1492 -Automne 1493] 1er Guerre D'Italie

Hiver - 1492

Guerre en Italie !

La guerre se profilait déjà à Naples, mais désormais que Naples a abdiqué le combat se poursuite jusqu'aux italiens ayant déjà déclaré la guerre à la france, la frontière savoyarde sera désormais sans le moindre doute sujet à d'intenses combats. L'Armée Française, une colossale force de frappe entame une marche de fer contre les cités ayant osés déclarer la guerre au royaume pieux de France.

L'Hiver est rude, la progression française difficile, la puissante artillerie française peine à se fayer un chemin à travers la neige et les rochers. Néanmoins le passage tôt des Français leur facilite la tâche. Les deux Corps d'armée français traversent finalement les Alpes, tandis qu'ils commencent la descente les premiers Italiens se font voir, opérant à l'aide de raid éclairs ils parviennent à destabiliser un peu les grandes armées françaises. Néanmoins le surnombre total des Français parvient à maintenir la cohésion dans l'armée. Une fois arrivé aux premiers villages ils découvrent des terres ravagés, les Italiens ayant détruits leurs récoltes et fuient vers l'Est.

La Descente est difficile, les Français sont harcelés par les Italiens. Néanmoins les Piquiers positionnés sur chaque flanc limitent les dégâts et les armées Françaises parviennent finalement à atteindre leurs cibles. Saluces est la premières victime, le petit territoire, bien que soutenu ne parvient pas à résister à la puissance française.

En Méditérannée la flotte Gênoise entre en action. Une importante flotte se dirige vers la France. Néanmoins le climat hivernal ne leur porte pas chance, si les caravelles sont bien assez robuste les galères gênoise ont bien du mal à faire leur percée, et plusieurs sont envoyés par le fond, les rames ne suffisant pas à affronter la fureur des océans dans une saison aussi difficile. Tandis qu'ils se rapprochent de leur objectif les coups de canons stopent Gêne dans son élan, des Frégates Françaises les intercepent.

Les Galères sont trop faible pour tenir face à la puissance des canons des frégates, néanmoins le surnombre Gênois et la qualité des navires Italiens parviennent à faire la différence, les Français sont repoussés. Les Italiens débarquent à Port Leucate, la ville défendue que par quelques paysans levés à la hate est prise. Les Italiens tentent alors de monter. Ils s'en prennent au ravitaillement Français, malheureusement ils sont attaqués rapidement par une armée venue de Paris pour défendre la France. La puissance armée Française, sur un terrain connu et où ils sont habitués défait les Italiens, forcés de se replier au Sud, le ravitaillement est rétabli, bien que les Alpes soient une dure épreuve.

En Savoie une armée Française fait face aux forces Coallisés de Savoie, Milan et Gênes. Néanmoins les Italiens préfèrent la Guerilla à l'affrontement en face, la technique s'avère plutôt éfficace – bien que l'on puisse noté que les vétérans mercenaires ne peuvent faire preuve de leur plein potentiel ainsi - la destruction des récoltes privant les Français d'une nourriture qu'ils auraient put avoir facilement. Néanmoins cela permet également aux Français de s'attirer l'amitié des petits Nobles Locaux, n'appréciant pas énormément que l'on brule leurs terres, ainsi plusieurs Nobles locaux acceptent de soutenir les Français, si ceux-ci promettent néanmoins de leur offrir des terres plus vaste à la suite de la guerre.

Pour cette saison l'avantage va à la France, malgré de lourde pertes dans les Alpes et à cause des Guerillas l'armée Française a un pied en territoire ennemi. Un autre corps Français s'occupe de sécuriser les terres conquises, bien que la non-hostilité des nobles aille dans leur sens.

Pertes :
France :
800 Fantassins (savoie)
200 mousquetaires (savoie)
80 Cavaliers (savoie)
1 canon (savoie)

200 Fantassins (Saluces)
40 Mousquetaires (Saluces)
15 Cavaliers (Saluces)

2 Frégates (Méditérannée)

120 Fantassins (France)
100 Miliciens (France)

Saluces :
Armée anéhantie, pays prit

Milan :
100 Mousquetaires (Méditérannée)
20 Cavaliers (Méditérannée)

220 Mousquetaires (savoie)
40 Cavaliers (savoie)

Gênes :
380 Mercenaires (Savoie)

150 Mercenaires (Méditérannée)
6 Galères (Méditérannée)
1 Caravelle (Méditérannée)

140 Mercenaires (France)


Savoie :
400 Miliciens (Savoie)
140 Fantassins (Savoie)
40 Cavaliers (Savoie)

[Je compte pour les Italiens Savoie & Saluce dans un seul truc]

Printemps - 1493

Coup de poignard dans le dos chez les Italiens !

A Gênes les bourgeois dépossèdent le Doge, ayant peur de l'armée Française du Sud aux portes de Gênes ils décident de reprendre les choses en mains. Gênes se retire de la guerre. Les alliés Italiens n'en sont que plus désespéré, la puissante flotte Gênoise et ses expérimentés mercenaire quittent le champ de bataille, laissant quelques soldats peu entrainés face à une armée Française dont l'avancée semblait déjà inaretable quand Gênes était là. On parle déjà dans l'armée Italienne d'une armée de fer, désignant la différence de qualité Franco-Italienne.


Au Sud l'armée remonte, sa direction est Turin ! Les forces italiennes tentent de les arrêter, mais sans l'expérience des Mercenaires c'est peine perdu. Les Italiens sont écrasés à trois reprises, Mondovi une première fois, la bataille est rude mais la puissante armée de fer l'emporte, ensuite à peine réorganisée l'armée Italienne est de noueau vaincue à Bra. Finalement elle se replie une ultime fois à Carignano où elle est de nouveau écrasée. Le soutien des nobles du sud, fachés d'avoir vu leurs terres brulées apportent à la France un ravitaillement aisé. Finalement le Siège est posé devant Turin. L'Armée Italienne est encerclée dans la ville, des levées paysannes sont faites en toute hate, certaines s'initient même au sud, mais un corps de sécurisation les calment aisémment.

Au Nord l'armée Française continuent, partant du col de Malatra ils doivent passés par Aoste avant de rejoindre Turin, cible de cette armée également. C'est à Aoste où ils rencontrent le gros de l'armée Italienne. Bien positionné en attendant sagement les Français l'armée de fer rencontre une résistance forte de la part des Italiens. La ville d'Aoste est tenue fermement par l'armée Italienne qui parvient à infliger de lourde perte aux Français, les quelques canons plus le feu nourri des mousquetaires parvient à faire mal à l'armée française.. Néanmoins le moral est au plus bas et le siège ne saurait s'éterniser.

A la nouvelle du siège d'Aoste Turin se rend, ils comptaient sur les renforts du Nord pour les sauver, mais malheureusement ils sont seuls, les quelques soldats et paysans déposent les armes face à l'armée Française. Celle-ci, ayant apprit le Siège d'Aoste s'engouffre dans le col de Joux. Elle prend position à Chatillon. Aoste perd toute chance de renforts, elle se retrouve prit entre le marteau et l'enclume. Malgré la résistance héroique des Milanais Aoste tombe, non sans couter cher aux Français. L'Armée est presque décimée, ayant l'impossibilité de fuir, certains de rendent aussi. La Bataille d'Aoste restera dans les mémoires. Désormais le bruit court parmis les Italiens que déjà Milan n'a plus aucune chance.

L'Armée Française quitte les Alpes en fin de Saison, sa progression est rapide et aisée, n'ayant plus vraiment d'armée pour s'opposer à elle. Ils prennent position à la fin du Printemps à Biandrate, à un peu moins de 80 kilomètres de Milan, aujourd'hui les Italiens ont prit une sévère correction de la part de l'armée Française.

En France port Leucate est mis sous le siège Français, sans possibilité d'évacuation, avec la flotte Française en arrière et l'armée devant la ville tenue par quelques miliciens cèdent, ils se rendent.

Pertes :
France :
650 Fantassins (Aoste)
380 Mousquetaires (Aoste)
85 Cavaliers (Aoste)
180 Fantassins (Turin)
95 Mousquetaires (Turin)
30 Cavaliers (Turin)
80 Fantassins (Port-Leucate)

Savoie :
1200 Mousquetaires [700 Prisonniers]
800 Fantassins [600 Prisonniers]
60 Cavaliers

Milan :
700 Mousquetaires [500 Prisionniers]
180 Cavaliers [50 Prisionniers]
2 Canons

Gains :
France :
1850 Prisonniers dont le sort est à décider
2 canons récupérés à Aoste

HJ : Je poste mon texte ici, si ce n'est pas le bon endroit, ne pas hésiter à le déplacer ou autre.

EJ

MISSION DE BON SECOURS AUX CHRETIENS

"La guerre en Italie tue des chrétiens ! Il est du devoir des Hospitaliers de les sécourir."

La voix du grand-maître résonna dans la haute salle de la chapelle. Les chevaliers hochèrent la tête en silence, le regard grave mais déterminé.

"Le don de son altesse le roi du Portugal nous permet de financer cette mission de secours. Je veux que vous vous rendiez en différents endroits d'Italie et de France pour organiser ce secours."

Le grand-maître montra sur la vaste carte déroulée sur la table de bois les différents endroits touchés par la guerre, puis son index s'aventura vers des lieux de paix où les enfants riaient encore, ignorants des horreurs commises sur leurs pères.

"Pour apporter soins aux blessés et aux réfugiés, médicaments et nourritures, nous nous appuierons sur les cités à l'écart du conflit comme bases arrière.

A l'université de Bologne nous demanderons au célébre médecin Youri Drohobtch de nous appuyer pour recruter médecins et fonds, en former un premier contingent à destination du sud de l'Italie.

A Montpellier, à la faculté de médecine encore, nous accomplirons les mêmes demandes pour ensuite apporter soins et secours dans toute la zone où les Français dominent.

Depuis Rome, nous accomplirons la même chose. Le cardinal Pierre d'Aubusson sera là - il lança un regard sévère envers ses collègues déjà prêts à protester - où je demanderai aux supérieurs des ordres religieux comme les Franciscains, bénédictins et autres de prêter leurs locaux et leurs personnels dans toutes les zones de conflit pour accueillir et soigner.


Nos soldats escorteront les médecins, vivres et médicaments apportés aux blessés et réfugiés. Nos dons et ceux des fidèles, le dévouement des médecins volontaires et des moines devraient apporter un secours sur les zones de combats.

Nous créerons aussi des hospices, centres de soins permanents, pour les blessés en Italie même. Des ateliers comportant des machines et des travaux adaptés aux mutilés de guerre ne pouvant plus exercer leurs anciens métiers seront créés à Rhodes.

Allons !

Le grand-maître serra le poing. La violence sévissait entre chrétiens. Il n'était pas en mesure de l'arrêter, il agirait de toutes se sforces pour la soulager.

La France garantira la sécurité des médecins De Rhodes sur les terres qu'il contrôle autant que faire se peut.

Venise, Mantoue et Ferrare offrent protection et accueil aux médecins Hospitaliers.

Eté – 1493

La guerre prend de l'ampleur. Le SERG entre en guerre, l'Angleterre, le Navarre et Gênes aussi.

Front Florentin :
La puissante flotte Gênoise débarque à Florence, un peu au nord de la ville les mercenaires se dirige vers Florence. La république ne dispose pas de soldats levés, seul quelques paysans levés à la hâte défendent la cité. Cependant la puissance des mercenaires Gênois entre en action, le siège est posé sur la ville, seul le grand nombre de ressources de la ville lui permettent de tenir.

Front Italien :
En Italie l'armée de fer continue sa progression, elle atteint rapidement Milan, dont tous les soldats ont désertés. Les paysans ne tentent pas de combattre et la ville tombe. L'Armée de Fer prend alors la route de la Suisse, nouvel ennemi de la France. Mais le chemin est barré, deux milliers de cavaliers Autrichiens levés par l'Empereur il y a quelques temps harcèlent les Français sur la route. Néanmoins l'organisation des colonnes avec des flancs de piquiers permettent de limiter les pertes. Bientôt l'Armée Française s'engage dans le col menant à la Suisse, passant par Biasca. Les Cavaliers Autrichiens ne tentent pas de les suivre, leur mobilité étant presque inutile dans un col de montagne.   Les Cavaliers Autrichien décident de rejoindre les restes de l'armée Italienne, passée sous commandement Suisse. C'est ainsi à Bern que s'engage la première bataille de cette saison. Les Français font face à près de 1.000 Italiens et les Cavaliers Autrichiens. L'avantage numérique et professionnel Français fait face à un effet de surprise et à l'abondance de cavaliers Autrichiens.

Les Autrichiens jouent sur la vitesse, la cavalerie parvient à mettre hors d'état de nuire un canon Français qui tombe sans avoir put faire de réels dégâts. Néanmoins l'expérience et le professionnalisme Française reprend le dessus. Les piquiers reforment une position sures et les mousquetaires abattent les cavaliers comme des Lapins, ceux-ci se retirent. Les Italiens tentent alors le tout pour le tout avec une attaque contre le flanc gauche Français, affaibli avec l'envoi de renfort sur le flanc droit pour repousser la Cavalerie. Ils sont cependant stopper par l'artillerie Française qui a put se mettre en position, c'est un massacre pour les Italiens, les Astro-Italiens fuient : Bern est prise.

Une Armée Française vient sécuriser les terres déjà sous occupation. Les Français séparent alors leur armée en deux, la première continue son chemin en suisse tandis que la seconde bifurque vers l'Alsace Autrichienne. Celle continuant prend alors Zurich, qui tombe sans réelle résistance, la ville est prise et une grande partie de la Suisse avec.

Front Franco/Allemand :
Le reste de l'armée de fer atteint l'Alsace en évitant les combats, et en l'absence d'armée ennemie ils l'atteignent aisément. Ils rencontrent un peu de résistance de la part des paysans et nobles locaux qui préfèrent la gloire Impériale des Habsbourgs aux promesses Françaises, néanmoins c'est loni d'être suffisant pour tenir tête à la puissance Française. L'Alsace recule et les terres Autrichiennes sont en partie prise, bien que la Saison se termine trop vite pour permettre à la France de terminer sa conquête des lieux. Ils posent le siège devant la capitale à la fin de la saison. Un Corps d'Armée revient du sud afin de soutenir les forces Françaises, ils affrontent quelques soulèvement locaux de paysans, mais peuvent finalement renforcer le siège de la capitale qui dure encore à la fin de la saison.

Un Autre corps d'Armée entre en Lorraine, fraichement arrivé de France il ne rencontre sur place une fois de plus que très peu de résistance, seul quelques paysans et miliciens levés en toute hâte. Mais la progression Française est là, l'armée Française est nombreuse et entrainée, même si elle ne dispose pas de l'expérience de l'armée de fer. Ils rencontrent néanmoins l'armée de Lorraine à la frontière des Flandres, sans-doute revenant des Flandres pour sécuriser leurs terres. C'est 600 Miliciens qui s'opposent à près de 5.000 Français, la bataille est rapide, l’héroïsme lorrain au rendez-vous. Les Français remportent néanmoins la Bataille, les Allemands fuient au nord.

Les Français veillent au grain et les quelques soulèvement de la Noblesse sont matés par un corps d'armée sur place.

Front Belge :
C'est dans les Pays-Bas Autrichiens que se déroulent cette année la plus grande partie de la guerre. Les Anglais débarquent, depuis Den Helden et Harlem c'est tout une armée qui arrive en territoire Autrichien. Ils peuvent rapidement prendre position, mais l'armée est lente à cause de l'incroyable nombre de canons déployés. Une armée opère d'abord le Siège de Rotterdam, qui tombe assez rapidement n'ayant que quelques paysans pour la défendre. Ils débarquent aussi un peu au Nord, prenant rapidement la route de Groningue, qui est assiégée et tombe rapidement, malgré quelques résistances Paysannes. L'Armée Anglaise y prend alors position.

C'est à Amsterdam qu'à lieu la plus grosse bataille de cette année. Elle oppose un peu moins de 10.000 Anglais à près de 7.000 Autrichiens. Sur le papier les Anglais dominent, le nombre et l'expérience sont pour eux. Ils alignent presque 50 canons ! Ce nombre incroyable surprend les Autrichiens, néanmoins l'artillerie Autrichienne contre-attaque rapidement. Mais l'erreur est humaine, le surnombre de canons rend difficile la protection et la Cavalerie Autrichienne fait mouche, plusieurs canons tombent. De plus le nombre de canons finit par déstabiliser les Anglais, qui ont du mal à alimenter tant d'artillerie en même temps. De plus l'absence de mousquetaire anglais offre aux Autrichiens qui en disposent de beaucoup un avantage majeur. Dans une ultime essort les Autrichiens repoussent l'armée Anglaise, au prix de lourdes pertes néanmoins.

Par la Lorraine une armée Française entre dans les Flandres Autrichiennes, commençant alors une nouvelle progression.

Front Marin :

La flotte Française arrive en Autriche et met le blocus sur les Ports Autrichiens qui n'offrent que peu de résistance.

En Belgique la Flotte Franco-Anglaise veille, néanmoins le débarquement Anglais a arrangé tout problème maritime.

Pertes :
France :
800 Fantassins (Bern)
60 Mousquetaires (Bern)
210 Cavaliers (Bern)
1 Canon (Bern)
100 Fantassins (Alsace)
30 Mousquetaires (Alsace)
70 Cavaliers (Alsace)

Angleterre :
1.800 Fantassins (Amsterdam)
1.100 Cavaliers (Amsterdam)
7 Canons (Amsterdam)

80 Fantassins (Groningue)

Autriche :
1.300 Mousquetaires (Amsterdam)
900 Fantassins (Amsterdam)
600 Cavaliers (Amsterdam)
2 Canons (Amsterdam)
950 Cavaliers (Bern)

La principauté de Liège propose une paix blanche entre les belligérants avec situation d'avant guerre.

Nous allons droit aux murs si nous continuons cette guerre.

Automne - 1493 :

Front Florentin :
La guerre semble toucher à sa fin, après la fin des fronts du Nord c'est vers Florence que se tournent tous les regards. La cité est assiégée depuis une saison presque complète, et ses ressources tiennent à la fin. Néanmoins la capitale florentine n'a pas dit son dernier mot. Les Florentins arment leurs hommes en toute hâte, 4.000 miliciens sont ainsi mobilisés pour faire face à pas loin de 3.000 vétérans mercenaires.

Les Florentin tiennent encore deux semaines, mais les vivres manquent et ils décident alors de tenter une sortie. Les Gênois sont surpris, ce sont par moins de 5.000 Florentins qui sortent, nombre de paysans ayant choisi de combattre pour la grande ville. Malgré tout le talent des mercenaires reprend le dessus, les fusils claquent et nombre de Florentins tombent avant même d'avoir atteint l'armée ennemie. Pour la première fois de la guerre les mercenaire peuvent montrer leur talent.

Le corps à corps qui s'en suit est aussi douloureux, néanmoins nombre de mercenaires tombent. Mais finalement l'armée Florentine se replie en panique, les mercenaires peuvent à leur tour entrer dans la cité. Contrairement aux ordres ils vont se servir chez les bourgeois florentins, ne pouvant résister à l'appel de l'or. Florence est tombée, et les derniers Espoirs Florentins avec, l'armée continue sa route et les villes tombent une à une, aucune n'est capable de tenir aussi longtemps que Florence et la défaite se sent. A la fin de la saison les plus grandes villes sont tombés, la puissante Florence est à genoux : Gênes a gagné son droit de s'installer en Toscane.

Pertes :
Florence :
600 Miliciens [+1.100 désertions]
500 Paysans [+500 Désertions]

Gênes :
420 Mercenaires

Conséquences : Florence est annexée et devient Gênoise.