[Printemps - 1493/Eté 1493] Guerre des Deux-Siciles

Guerre des Deux-Siciles

Printemps – 1493

Le Royaume d'Espagne décide aujourd'hui de mettre un terme à la révolte Sicilienne. L'imposante Armada Espagnole se place autour de l'ancien Royaume de Naples, malgré les quelques navires mobilisés par les rebelles la domination Espagnole est visible et bientôt la région de Naples est complétement bloquée.

Profitant de l'avantage marin les Espagnoles débarquent à Naples. Ils ne font preuve d'aucune pitié envers les partisants de la révolution, ils se heurtent à quelques défenseurs, mais la ville est rapidement évacuée, n'ayant nullement la force la force d'affronter l'armée Espagnole. Roger de Hauteville fuit la ville, il va se réfugier dans la ville de Salerme, en compagnie d'une importante force armée. Il lève sur place encore autant de paysans que possible qui viennent grossir ses rangs.

Les Espagnoles décident finalement d'attaquer simultanément Capoue et Salerme, en ne laissant qu'un petit rideau à Naples. Capoue n'est défendue que par deux petits miliers de soldats, elle tombe rapidement entre les mains des forces du roi Ferdinand. Salerme en revanche ne subit pas le même sort. Les Espagnole sont prêt de 5.000 sur places, tandis que le Roi Roger disposent lui de prêt de sept-milles hommes qui sont dans la ville ! Malgré l'avantage numérique le combat s'annonce sérré.

Les Espagnoles, ne risquant pas un assaut risqués préfèrent poser un siège. Dans un élan d'audace le Roi des Deux-Siciles tente une sortie, il parvient à frapper en plein coeur de l'armée Espagnole, quelques renforts venant d'arriver grossisent un peu ses rangs. La bataille est rude, mais finalement les Espagnoles cèdent sous l'avantage du nombre. Ils se replient à Naples. Néanmoins blessé par la précédente bataille Roger préfère retourner à Salerme, qui devient alors le nouveau centre du Royaume des Deux-Siciles. Il y transmet un message à travers tout le royaume, des partisants accourent pour rejoindre son armée d'un peu partout.

Tarente, Bari, Tropea et Crotone sont victime de débarements à petite ampleurs, les quelques paysans sur place ne peuvent que plier et les ports sont pris. Les partisants sont égorgés en majorité, seul quelques uns fuient vers Salerme. La représsion est forte si bien que plusieurs nobles rejoignent les Espagnoles face à la puissance de leurs armées.

La Sicile, délaissée par l'Armée Espagnole se mobilise. Sous le commandement de plusieurs nobles fidèles à Roger ils assemblent une armée de prêt de 5.000 Paysans prit à travers le pays, ils travsersent par le Détroit de Messine, traversant par la plus petite largeur ils empruntent tout les navires qu'ils peuvent. Le temps que les Espagnoles rejoignent la position la majeur partie de l'armée a traversée, bien que certains aient été balayés par les puissants courant du détroit. L'Armée fait alors marche vers Salerme pour se rallier à Roger. Le Roi des deux-siciles prend confiance, mais les Espagnoles domine actuellement la guerre.

L'Espagne et les Deux-Siciles tentent tous deux de s'attirer les faveurs de l'ancienne armée Napolitaine, celle-ci malgré tout reste indécise, stationnée à Cosenza elle veille, cherchant son camp.

Pertes :
Espagne :
180 Fantassins (Naples)
650 Fantassins (Salerme)
20 Fantassins (Capoue)
80 Fantassins (Autres débarquements)

Deux-Siciles :
280 Payans (Naples)
750 Miliciens (Salerme)
340 Paysans (Salerme)
80 Paysans (Capoue)
80 Paysans (Autre débarquement)

Gain :
Espagne :
1.500 Miliciens venant des nobles locaux rejoignent l'armée Espagnoles à Naples
600 Deniers sont récupérés sur les nobles rebels égorgés

Deux-Sicile :
3.800 Paysans rejoignent l'armée des deux-sicile depuis la Sicile
800 Paysans défendent la sicile

Eté – 1493 :

La Guerre continue, en Sicile les Espagnoles débarquent à Palerme. Ils prennent rapidement la ville, les quelques paysans soutenant Roger se rendant rapidement, n'étant pas de taille face à l'armée Espagnole et à l'armada protégeant le Port, la Sicile tombe.

Les villes prises sont sécurisés et les derniers rebelles aisément matés par l'armée espagnole, Capoue, Naples et d'autres villes du nord tombent définitivement.

Cette saison c'est à Salerme que se déroule la suite des événements, les Espagnoles posent de nouvelles fois le siège de la ville, lançant un ultimatum aux nobles rebels. Celui-ci est refusé, les Napolitains croyant encore en leur victoire. Le Siège continue alors, et les Espagnoles renforcent leurs positions. A l'annonce du nouveau siège l'Armée du Sud se hate, mais ils savent que des paysans seront peu éfficaces.

A Cosenza l'ancienne armée Napolitaine fait route vers Palerme, avec la ferme intention de prendre part au conflit, ce sont ainsi 1.600 Fantassins, 600 Mousquetaires et 1 canon qui font route vers le bastion de Roger.

C'est au tour de la flotte Espagnole d'entrer en action, des frégates viennent attaquer avec puissance les murs de Palerme, la ville ne tient pas face à la puissance de feu des canons. Néanmoins la position au centre du port est désaventageuse pour les maniables Frégates, l'une d'elle coule, attaquée par l'armée de Roger. Une galère est prise en abordage, alors qu'elle tentait de défendre les frégates, par les forces Napolitaine néanmoins les Espagnoles la coule rapidement et les forces de Roger doivent se replier.

L'Armée Espagnole parvient à s'engouffrer dans la ville, évitant de croiser le feu des Frégates les forces de Roger se replient au cœur de la ville, s'en suit une bataille citadine. Dedans les Napolitains ont l'avantage, les Espagnoles n'ont pas jugés bon d'envoyer toute l'armée, ainsi débordés en nombre les Espagnoles sont vaincus, ils se replient. Néanmoins les dommages de Palerme sont énormes, la puissance de la flotte Espagnole a fragilisé les fortifications de la ville, toute la partie près de la mer est abandonnée par les Napolitains qui se rassemble autour des secteurs encore sous contrôle. Ils barricadent comme ils peuvent les rues de la ville, utilisant tout ce qu'ils peuvent. Néanmoins plusieurs paysans et civils quittent la ville pour se rendre aux Espagnoles, le moral est bas.

Le son de tambours viennent soutenir néanmoins le cœur Napolitain, les renforts du Sud arrivent à Palerme, ils chargent alors les forces ayant posés le siège. Les Espagnoles sont prit par surprise, les paysans peuvent arriver au contact, néanmoins l'entrainement espagnole reprend rapidement le dessus. Les Pertes sont catastrophiques chez les Napolitains. Arrive alors l'armée Napolitaine, ceux-ci prennent en tenaille les Paysans du Sud. Néanmoins la Surprise est là, le premier coup de canon tiré atteint l'armée Espagnole. Si l'on croit au début à une erreur de cible l'assaut Napolitain va confirmer la thèse, les Napolitains se rallient derrière Roger, qui les a déjà commandé au moment de la révolte.

La Charge de l'armée Napolitaine, professionnelle cette fois-ci, déstabilise les Espagnoles. Dans la ville les forces de Roger en profitent pour sortir et chargé à leur tour. La Bataille tourne rapidement à la boucherie, les espagnoles sont débordés et n'arrivent plus à se coordonner. Néanmoins les forces Napolitaines ne sont pas professionnelles : ils ne parviennent pas non plus à coordonner la bataille. Il s'en suit une bataille des plus déplorables sur le plan tactique. Néanmoins la surprise parvient à faire plier les Espagnoles. Une fois de plus ceux-ci doivent abandonner leur siège. Néanmoins Roger profite de cette sortie pour fuir Salerme, la flotte Espagnole ayant trop endommagée la ville pour qu'elle puisse encore être utile. Affaibli la révolution des Deux-Siciles se reporte à Potenza, une ville n'ayant pas d'accès côtier pour éviter de subir une nouvelle attaque de la flotte Espagnole.

Sur le plan tactique l'armée Napolitaine est victorieuse, sur celui stratégique ce sont les Espagnoles : Salerme est abandonnée, il y a peu de personnes vivant encore dans la ville néanmoins, la bataille l'ayant vidés d'énormément d'habitants et les autres ayant fuit. Salerme, jadis belle et puissante n'est aujourd'hui plus grand chose. Cette saison est triste, nombre d'hommes moururent aujourd'hui dans une bataille difficile. Les deux camps ont subits d'atroces pertes, néanmoins Roger recule de plus en plus et ses forces se réduisent de plus en plus. Des paysans fuient son armée et quelques nobles aussi, les forces de Roger croient de moins en moins à la victoire. Mais nombre pensent qu'après le refus de l'ultimatum Espagnole il n'est plus possible de reculer.

Pertes :
Espagne :
1.450 Fantassins (Salerme)
1.100 Mousquetaires (Salerme)
1 Frégate (Salerme)
1 Galère (Salerme)

Deux-Siciles :
2.250 Miliciens (Salerme) [+500 Désertions]
5.500 Paysans (Salerme) [+3.000 Désertions]
600 Fantassins (Salerme)
100 Mousquetaires (Salerme)

Gain :
Espagne :
2.000 Prisonniers Paysans de l'ancienne armée de Roger dont le sort est à décider.

Les 2000 Prisonniers Paysans seront rapatrié en Espagne ou il reprendrons leur métier dans les Champs.Ils seront dispersé afin qu'il ne trouble pas l'ordre. Lorsque la révolte sera terminé, ces paysans auront le droit de revenir a Naples.